La densité capillaire après une greffe
Une opération de greffe capillaire est considérée réussie lorsque le patient, après 12 mois de la sortie de la clinique, bénéficie d’une chevelure esthétique et bien répartie sur le cuir chevelu.
La densité capillaire après l‘intervention est un des autres facteurs d’évaluations qui permettent de déterminer le succès de l’intervention.
Voilà comment le chirurgien procède pour obtenir une bonne densité de la chevelure et pour garantir un résultat satisfaisant au patient.
La densité capillaire indique le nombre de cheveux sur le cuir chevelu ; l’épaisseur, quant à elle, représente le diamètre d’un cheveu.
Chez le patient qui souhaite recourir à une transplantation capillaire, on diagnostique une densité clairsemée ou moyenne ; le but de l’intervention sera de rendre cette densité abondante.
La densité peut diminuer au cours de la vie, et ce pour différentes raisons : période de stress, maladie, facteurs génétiques ou tout simplement avec la vieillesse.
Chaque cheveu gagnera quelques centimètres de longueur, donnant ainsi à la chevelure un respect plus esthétique.
C’est à partir de 8ème ou du 9ème mois que le patient peut commencer à réellement admirer le résultat final de l’opération : les cheveux sont plus longs, plus pais, et presque tout le cuir chevelu est recouvert.
Après 12 mois d’attente (voire même un an et demi pour certains patients), la repousse des cheveux est définitive, et il sera possible d’apprécier la nouvelle densité capillaire.
Par exemple, chez certains patients, le chirurgien réalisera l’implantation de 30 unités folliculaires par centimètres carrés, alors que chez d’autres, il y’aura besoin de 60 unités par cm carrés, voire même plus. Tout dépendra du cas et du degré de calvitie diagnostiqué chez le patient.
Autre élément à prendre en considération, le sexe du patient : si la moyenne de la densité est de 45 unités folliculaires chez les hommes, pour les femmes en revanches on comptera au moins entre 50 et 60 unités par cm carré.
Durant la procédure d’implantation capillaire, le médecin pourra également recourir à la technique de dense-packing afin d’obtenir le meilleur résultat possible : il s’agit d’une procédure qui consiste à réaliser des incisions de très petite taille, grâce à des outils adaptés ; plus l’incision a une taille réduite, et plus il sera possible d’implanter un plus grand nombre d’unités folliculaires par centimètre carré de cuir chevelu. De cette manière, la chevelure pourra être plus dense à la suite de l’opération.
Ainsi, différentes techniques et procédures peuvent être employées afin d’obtenir le meilleur résultat possible. D’où l’importance des premières visites de consultation, durant lesquelles le médecin examinera le degré de la calvitie, ses causes, et évaluera les besoins du patient. Tous ces éléments permettront au praticien d’opter pour la meilleure procédure à suivre afin d’aboutir à un résultat satisfaisant.
La densité capillaire après l‘intervention est un des autres facteurs d’évaluations qui permettent de déterminer le succès de l’intervention.
Voilà comment le chirurgien procède pour obtenir une bonne densité de la chevelure et pour garantir un résultat satisfaisant au patient.
Densité et épaisseur capillaire
Tout d’abord, il faut garder à l’esprit qu’il y’a une nette différence entre densité et épaisseur capillaire.La densité capillaire indique le nombre de cheveux sur le cuir chevelu ; l’épaisseur, quant à elle, représente le diamètre d’un cheveu.
Chez le patient qui souhaite recourir à une transplantation capillaire, on diagnostique une densité clairsemée ou moyenne ; le but de l’intervention sera de rendre cette densité abondante.
La densité peut diminuer au cours de la vie, et ce pour différentes raisons : période de stress, maladie, facteurs génétiques ou tout simplement avec la vieillesse.
L’évolution de la chevelure du patient après la greffe
La véritable repousse capillaire commence après environ 6 mois de la greffe. Suite à cette période, le patient aura la sensation que la chevelure est plus dense, avec des cheveux plus épais, mais aussi plus longs.Chaque cheveu gagnera quelques centimètres de longueur, donnant ainsi à la chevelure un respect plus esthétique.
C’est à partir de 8ème ou du 9ème mois que le patient peut commencer à réellement admirer le résultat final de l’opération : les cheveux sont plus longs, plus pais, et presque tout le cuir chevelu est recouvert.
Après 12 mois d’attente (voire même un an et demi pour certains patients), la repousse des cheveux est définitive, et il sera possible d’apprécier la nouvelle densité capillaire.
Comment obtenir une bonne densité capillaire avec cette intervention ?
Afin de donner au patient un résultat satisfaisant, le professionnel utilisera différentes techniques et prendra en compte plusieurs facteurs lors de l’opération de transplantation.Par exemple, chez certains patients, le chirurgien réalisera l’implantation de 30 unités folliculaires par centimètres carrés, alors que chez d’autres, il y’aura besoin de 60 unités par cm carrés, voire même plus. Tout dépendra du cas et du degré de calvitie diagnostiqué chez le patient.
Autre élément à prendre en considération, le sexe du patient : si la moyenne de la densité est de 45 unités folliculaires chez les hommes, pour les femmes en revanches on comptera au moins entre 50 et 60 unités par cm carré.
Durant la procédure d’implantation capillaire, le médecin pourra également recourir à la technique de dense-packing afin d’obtenir le meilleur résultat possible : il s’agit d’une procédure qui consiste à réaliser des incisions de très petite taille, grâce à des outils adaptés ; plus l’incision a une taille réduite, et plus il sera possible d’implanter un plus grand nombre d’unités folliculaires par centimètre carré de cuir chevelu. De cette manière, la chevelure pourra être plus dense à la suite de l’opération.
Ainsi, différentes techniques et procédures peuvent être employées afin d’obtenir le meilleur résultat possible. D’où l’importance des premières visites de consultation, durant lesquelles le médecin examinera le degré de la calvitie, ses causes, et évaluera les besoins du patient. Tous ces éléments permettront au praticien d’opter pour la meilleure procédure à suivre afin d’aboutir à un résultat satisfaisant.
